Mimi !
Mimi !
Oh! Mon grand frère, comment te dire,
Que tant de choses me font bondir,
Quand je songe à ton destin,
Je me noie dans mon chagrin,
De ne pouvoir élucider,
Ton histoire si bien cachée.
Quand le veto pèse partout,
Sur les paroles mais surtout,
Tant d'intrigues en messes basses,
Que j'en suis triste et de guerre, lasse.
Je ne peux pas pour autant,
Laisser faire tous ces gens,
De ta guerre, qu'il soit bien clair,
Plus de questions, voici l'hiver,
Tant de missions, tu auras fait,
Pour qui, pourquoi, tout est surfait,
Toute ta vie est bafouée,
Pour ceux des Tiens qui ont cherché,
Une raison et un pourquoi ?
Secret d’État et un Émoi,
Dès que ton Nom est prononcé,
Barrières et clous sont implantés,
Malheur à moi si j'ose encore,
Braver ainsi ces contreforts,
Masquant à tous la Vérité
De tes misères si bien cadrées.
En conclusion, je ne saurai,
Ni Doute, ni mort, je n'accepterai !
Maria Cesare. Le 8 septembre 2019